Syrie : festival de fake news sur les media de grand chemin

[Note de l’administrateur de ce blog : on pardonnera à l’auteur de la vidéo quelques fautes d’orthographe dans les sous-titres, et on le remerciera chaleureusement pour cette petite séquence fort pédagogique. Mais sans vouloir me vanter, si tout ce que je devais expliquer à mes étudiants était d’une aussi éclatante limpidité, mon métier serait vraiment du gâteau.

De cette compilation d’intervention de “journalistes” on retiendra donc ceci : soit ce sont tous des quiches de niveau olympique, avec un QI de moule sous Prozac® ne leur permettant pas de vérifier la source d’une information que même un enfant de 10 ans peut retrouver en moins de 5 minutes sur son smartphone, soit ils sont payés pour mentir et tremblent comme des feuilles à le seule idée de dire la vérité – et de perdre ainsi leur emploi.]


On retiendra aussi cette information sur l’affaire Skripal : selon des experts suisses indépendants du Laboratoire Spiez travaillant à la demande de l’Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques, en abrégé OIAC (hein M. Bourdin…), l’agent toxique BZ, faisant partie de l’arsenal des USA et du Royaume-Uni mais n’ayant jamais été produit en Russie ou en URSS, aurait été utilisé contre les Skripal.

Après cela, ceux qui s’imagineront que les frappes contre la Syrie ont été décidées précisément pour détruire les preuves de l’attaque chimique présumée et surtout les indices matériels permettant de remonter à ses véritables auteurs seront évidemment taxés de dangereux complotistes, et plus si affinités.