La “Jeanne d’Arc” métisse d’Orléans est victime d’un calcul oligarchique (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : agiter le peuple avant de s’en servir, c’est une recette oligarchique éprouvée depuis au moins 1789. Et cela marche d’autant mieux que l’on en parle peu, voire que l’on traite de “complotistes” tous ceux qui ne font que produire des déductions logiques, d’une part de techniques de manipulation de l’opinion connues et répertoriées, et d’autre part d’une tendance naturelle également connue des pervers ou psychopathes, et plus généralement des personnes sans empathie ni morale, à se retrouver aux “postes de commandement” d’une société (humaine, industrielle…).

Par la capacité d’analyse et de réflexion qu’elle tente de communiquer à ses lecteurs, la rédaction d’Égalité & Réconciliation – qui mérite ici fort bien son nom – montre qu’il faut toujours savoir regarder la lune plutôt que le doigt. Malheureusement, à force de propagande primaire diffusée par des media complices, beaucoup de nos concitoyens n’ont toujours pas cette capacité et tombent régulièrement dans les gros panneaux que l’oligarchie brandit devant leurs nez.]


Mathilde Edey Gamoussou, une jeune fille de 15 ans, a donc été choisie par la ville d’Orléans pour représenter la pucelle aux prochaines fêtes Johanniques au printemps. Orléans est la ville dont le député-maire (Serge Grouard à l’époque) avait voué Dieudonné aux gémonies et interdit son spectacle. Obéissant à l’injonction antiraciste et immigrationniste de l’oligarchie, qui se transmet via les politiques et les médias aux ordres, les autorités des fêtes Johanniques ont opté pour une jeune Française de couleur. Pile dans le débat sur la loi asile et immigration. Les ingrédients d’une ingénierie sociale parfaite sont en place…

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Le comité Jeanne, à ne pas confondre avec les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen

Le maire LR Olivier Carré défend la candidature de la jeune fille, alors que les réseaux sociaux se déchaînent. Le tollé n’a pas été déclenché par un racisme – même si on ne peut pas empêcher de gros dérapages débiles – à l’encontre de la métisse en question, qui est bien française, mais par le choix provocateur des autorités. Bénédicte Baranger, présidente du comité Jeanne d’Arc, défend l’élue :

« Elle répond aux quatre critères de choix que nous nous sommes fixés : résider à Orléans depuis dix ans, être scolarisée dans un lycée orléanais, être catholique et donner du temps aux autres. Il n’y a aucune provocation, elle portera notre histoire de France à tous, comme l’ont fait les autres Jeanne avant elle. »

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Et pour creuser un peu plus profond ce sujet, j’invite vivement mes lecteurs à prendre connaissance de l’excellente analyse de Philippe Vergnes dont la première partie est en lien dans l’introduction :

 

Nouvelle gifle pour Macron : Washington obtient des “Européens” qu’ils acceptent d’obéir à “l’OTAN et à l’OTAN seule” (UPR)

[Note de l’administrateur de ce blog : puissent les mous du bulbe se réveiller enfin et admettre le mensonge politico-médiatique d’une “Union Européenne” construite à l’initiative d’Européens pour assurer la paix en Europe, alors qu’il ne s’agit que d’une tentative sournoise de l’impérialisme américain pour asservir les nations européennes – et initialement pour faire barrage au communisme soviétique.

La naissance de ce blog s’est faite en partie, comme je l’explique sur cette page, suite à cette prise de conscience qui à elle seule suffit à ranger 99,9 % du personnel politique et médiatique dans la catégorie, au mieux, des incapables, et au pire, des corrompus (l’un n’excluant pas l’autre). Prise de conscience qui libère l’esprit et permet de passer à autre chose.]


Le discours grotesque de Macron à la Sorbonne le 26 septembre 2017

Ceux qui portent encore de l’intérêt aux déclarations des marionnettes locataires de l’Élysée se rappelleront peut-être que Macron avait surpris un peu tout le monde, le 26 septembre dernier, par un discours de plus d’une heure et demie sur l’Europe, prononcé devant la claque réunie pour la circonstance dans le grand auditorium de la Sorbonne.

La tonalité en avait été tellement grandiloquente et coupée des réalités que même les médias les mieux disposés à l’égard de celui qu’ils venaient de faire élire avaient été gênés aux entournures.

Le journal Le Monde avait ainsi parlé avec des pincettes d’un discours « enflammé » (traduction : « grotesque ») dans lequel Emmanuel Macron avait « proposé des initiatives tous azimuts » (traduction : « un fourre-tout impraticable ») et avait couronné son article par une citation résumant l’emphase légèrement délirante du jeune chef de l’État : « Nous sommes bousculés, l’audace est notre seule réponse.»

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Le général Mattis reconnaît n’avoir pas de preuves
que la Syrie ait un jour utilisé des armes chimiques
(Réseau Voltaire)

James Norman Mattis,
secrétaire à la Défense des États-unis

[Note de l’administrateur de ce blog : on nous avait déjà fait le coup avec les armes de destruction massive de Saddam Hussein, mais visiblement certains ont quelques lenteurs dans les connexions synaptiques. À moins qu’ils ne soient pas payés pour comprendre avant d’agir mais pour exécuter… des ordres venus d’ailleurs. Et pourtant, il suffisait de faire une peu de physique… chose apparemment hors de portée pour un ancien réparateur de chaussures, mais qui entre dans les compétences de mes étudiants au terme d’une licence universitaire.]


(Source)

Le général Jim Mattis, secrétaire à la Défense, a déclaré le 8 février 2018 ne pas avoir de preuve que la Syrie ait jamais utilisé d’armes chimiques, y compris en 2013 et en 2017, lorsque la Maison-Blanche ordonna le bombardement en rétorsion de la base aérienne de Chayrat.

Pourtant, le 23 janvier, soit deux semaines avant cette déclaration, le secrétaire d’État, Rex Tillerson, participait à Paris au Partenariat international contre l’impunité d’utilisation d’armes chimiques, accusant le président el-Assad d’en avoir fait usage de multiples fois.

Mattis Admits There Was No Evidence Assad Used Poison Gas on His People”, Ian Wilkie, Newsweek, February 8, 2018.

 

“Soral et Dieudonné sont antisémites” : Boniface se couche face à Mabrouk (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : Pascal Boniface a été un intellectuel intéressant, dont j’ai acheté et lu l’ouvrage “Les intellectuels faussaires” où il épinglait avec justesse les grands spécialistes de la désinformation, au premier rang desquels Bernard-Henri Lévy (“seigneur et maître des faussaires”) et Caroline Fourest (“serial menteuse”). Hélas, la rigueur intellectuelle, cela se pratique à temps complet et pas en fonction de la direction ou de la vitesse du vent. Lequel est visiblement aujourd’hui trop fort pour le capitaine de pédalo Boniface.

À l’exact opposé de ce résidu d’intellectuel tentant de surnager dans le cloaque de la désinformation sioniste, on trouve une femme, ne se prétendant nullement intellectuelle : Véronique Lévy, la petite sœur1 de B2HL2. Convertie au catholicisme et devenue même clairement mystique, celle-ci n’hésitait pas à écrire le 9 janvier dernier sur facebook :

“Le mot “juif” ne devrait donc renvoyer qu’aux douze tribus d’Israël et au royaume de Juda d’il y a plus de 2000 ans… et dont certains palestiniens sont les justes héritiers, selon la chair et le sang.”

[…]

“En effet, aujourd’hui, très peu de “juifs” descendent du Roi David, mais d’un peuple d’Europe centrale converti après le moyen âge, bien ultérieurement au christianisme, au Talmud de Babylone … non au Pentateuque (Thora), qui lui, est un livre Sacré.
Les Khazars s’autoproclament fidèles, mais leur légitimité n’est autre que celle qu’ils s’octroient, dans l’allégeance aux sectes talmudique et cabalistique servant leur rêve d’expansion impérialiste économique… confisquant l’universalité du Salut promis par Abraham aux nations païennes, et la dénaturant aux privilèges d’un système de caste, excluant de la Promesse, “ceux qui ne sont pas bien nés” : les “goyim”.”

[…]

“Et enfin, les fanatiques et les sionistes ne trahissent-ils pas la Parole de Dieu deux fois ? Dans l’ésotérisme et le légalisme talmudique et cabaliste ; dans l’enlisement politique et athée d’une colonisation sanglante.
Qu’ils cessent d’agiter le chiffon rouge de l’antisémitisme au nez de ceux qui cherchent la Vérité et dont l’Unique Visage est Celui du Christ !
L’amour n’est-ce pas annoncer la Vérité que certains tentent de bâillonner par ce mot ensorcelé: antisémite ?”

 

Ça a tout de même une autre gueule que l’aplaventrisme façon Boniface.

Dieu vomit les tièdes. Parole d’athée.]


Après avoir visionné cet « entretien », on se demande ce qui est le plus écœurant : le zèle et le ton inquisiteur de Sonia Mabrouk [1] ou la lâcheté équivoque de Pascal Boniface qui, comme à son habitude, tente de se dédouaner en « balançant » Alain Soral et Dieudonné.

Face à l’insistance quasi obsessionnelle de l’animatrice tunisienne de quarante ans (c’est mieux qu’un mâle blanc de plus de cinquante ans) de CNews et d’Europe 1 (ses patrons sont donc Vincent Bolloré et Arnaud Lagardère, deux mâles blancs de plus de cinquante ans), le petit Boniface n’a même pas tenu cinq minutes : fidèle à sa rhétorique demi-molle, le directeur et fondateur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) a abjuré.

Soral ?

« Il a tenu des propos antisémites. »

Dieudonné ?

« Il est devenu antisémite. »

Panamza ?

« Il est devenu complotiste. »

Observer en totalité la chute libre de Pascal Boniface sur Égalité & Réconciliation →


Apportons quelques éléments factuels de réflexion à ce qui reste d’intelligence chez Pascal Boniface :

Et aidons-le à compléter sa liste d’antisémites (selon le sens promu par les media de grand chemin) avec quelques personnalités.

Toxic Story

Le genre : thriller médical et récit d’un déniaisement.

Le professeur Romain Gherardi n’est pas n’importe qui : chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, ce médecin et chercheur (de 2000 à 2014, il dirige une équipe à l’Inserm) a publié plus de 350 articles scientifiques et participé à de nombreux ouvrages collectifs. C’est donc une “pointure” du monde médical. Pourtant, si l’ouvrage (qualifié de “document” sur la page de titre intérieure) est bien truffé de raisonnements, de schémas et tableaux en annexes, et de références bibliographiques comme il sied à toute démonstration à caractère scientifique, le prologue plante le décor d’une tout autre manière. En voici un extrait :

“C’est l’histoire d’une nouvelle pathologie, devenue peu à peu l’histoire d’une longue traque. Si le coupable court depuis 1926, la première scène de crime n’est photographiée qu’en 1993, et il faudra attendre encore cinq ans avant qu’il soit identifié. En 2016, il circule toujours sans être inquiété alors que la liste de ses victimes ne cesse de s’allonger. Chacun de ses procès, toujours dans l’ombre d’un huis clos, s’est soldé jusqu’à aujourd’hui par un non-lieu. “Faute de preuves”, disent les autorités compétentes. Faute, surtout, de moyens. Car l’État, sidéré par la complexité de l’affaire, demeure en retrait.”

Déflorons tout de suite l’intrigue : ce coupable qui court toujours, c’est l’aluminium vaccinal, un adjuvant utilisé – évidemment pas dans le but de nuire1 – pour augmenter l’efficacité des vaccins. En 2018, cela fait donc 20 ans2 que ce coupable a été identifié par des méthodes scientifiques rigoureuses, ce qui n’empêche pas les autorités sanitaires de continuer à mentir sur son innocuité. Pourquoi ? C’est la partie déniaisement de ce livre qui le relate, tout aussi passionnante – mais en plus, révoltante – que la partie proprement scientifique, toutes deux intimement mêlées. Car si le prologue, peut-être pour ne pas effrayer le lecteur dès les premières pages, parle seulement de “manque de moyens”, on pourrait aussi après avoir lu l’ouvrage renverser l’argument et parler plutôt d’excès de moyens… pour la partie adverse, des industriels richissimes du monde pharmaceutique dont la seule loi est celle du profit maximal, et qui par leur “réussite” ont provoqué une corruption généralisée du milieu médical et des instances de santé gouvernementales ou internationales (AFSSAPS, OMS…). Et des industriels qui, contrairement au professeur Gherardi, ne voient pas les malades comme des êtres humains en souffrance voire en totale détresse, mais comme une ligne de statistiques dans un tableau Excel®.

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Hassan Nasrallah répond à Trump : Il n’y a pas de terrorisme « islamiste » (Hasan Sayed)

[Note de l’administrateur de ce blog : la première des libertés est celle de savoir nommer correctement les choses. L’esclavage par excellence est celui consistant à museler le langage, ou pire la pensée, en parvenant à donner aux événements une signification qu’ils n’ont pas.]